mercredi 29 janvier 2014

Pourquoi m’engager dans l’élection municipale aux côtés de Geneviève Touati

Âgé de 59 ans, je vis à Saint-Mandé depuis 19 ans. Je suis marié, j’ai trois enfants, un et bientôt deux petits enfants. Je travaille dans le secteur agro-alimentaire à la mise en place et au développement de filières de production fondées sur la contractualisation, activité qui nécessite un certain goût pour l'écoute et la négociation !
Je milite au Parti socialiste depuis plus de 20 ans. Le sens de cet engagement correspond pour moi à l’idée que nous avons tous à nous préoccuper, d’une manière ou d’une autre, du bien commun.
J’ai toujours pensé qu’il était inconvenant de se plaindre de la façon dont sont gérées les affaires publiques si nous ne sommes engagés nulle part. Ainsi, militer au PS est pour moi une façon de prendre part à la marche d’un grand parti de gauche dont le rôle est déterminant, tant au plan local qu’au plan national et européen. Si son action ne me convient pas sur tel ou tel sujet, je peux faire entendre mon point de vue et participer aux débats.
C’est cette même raison qui m’a conduit à me présenter sur la liste PS/Verts/PRG à Saint-Mandé en 2001. J’ai accompli un mandat jusqu’en 2008 avec le souci, avec mes colistiers, de faire avancer les choses, avec nos moyens d’élus d’opposition, petit à petit. Pour ne citer que trois exemples : une nouvelle crèche a finalement été créée, l’avenue du Général de Gaulle a enfin été rénovée même si cela est perfectible, et l’idée de la prise en compte du quotient familial pour le calcul des tarifs de la restauration scolaire progresse jusque chez des élus de droite qui l’avaient constamment refusée jusqu’à maintenant.
Après un mandat « blanc », lié à l’évolution de mon travail durant ces dernières années, j’ai à nouveau décidé de m’impliquer pleinement dans cette campagne pour les élections municipales de 2014. Je pense en effet que les conditions sont aujourd’hui plus favorables pour faire « bouger les lignes » à Saint-Mandé.
Après de longues années d’immobilisme du maire sortant, le champ des dispositifs à faire évoluer à Saint-Mandé est en effet devenu très important dans de nombreux domaines (vie scolaire, urbanisme, vie associative, petite enfance, etc.). Je souhaite m’impliquer dans ces chantiers.

Antoine Morin

samedi 25 janvier 2014

Une autre politique est possible à Saint-Mandé

La réunion publique organisée ce samedi au centre P. Cochereau a été l'occasion de présenter aux Saint-Mandéens les contours de la liste "À gauche, une équipe loyale pour une ville solidaire".

Après avoir présenté leurs vœux à leurs concitoyens pour 2014, les orateurs de la soirée ont successivement abordé le bilan de la municipalité sortante et la question de la gouvernance (Geneviève Touati), les finances communales (Philippe Leray), la solidarité et la politique scolaire (Antoine Morin), la collaboration entre Saint-Mandé et les collectivités locales franciliennes (Sandra Provini).

L'échange qui a suivi avec le public a permis de discuter stratégie électorale, lien intergénérationnel, transports et politique de sécurité.

Nous vous donnons rendez-vous mardi 11 février à 20h au centre culturel pour notre seconde réunion publique, consacrée aux questions d'urbanisme.

vendredi 24 janvier 2014

Logements sociaux, places en crèche : une exigence de transparence

Fin 2013, la ville a inauguré la création de logements sociaux dans deux immeubles situés l’un avenue du Général de Gaulle, l’autre rue Joffre. Dans chacun de ces programmes, la ville dispose d’un quota de logements pour lesquels elle propose au bailleur des candidats. Lors de l’inauguration en décembre de ces deux programmes, tous ces logements étaient déjà attribués. Sur quels critères ? Opacité la plus complète, comme de coutume : en la matière c'est une fois encore le fait du prince qui prévaut, comme il a prévalu pendant tant d'années avec l’assentiment des adjoints au maire, y compris ceux qui aujourd’hui prétendent gérer la ville en toute transparence. Manifestement, à Saint-Mandé, si vous voulez un logement dépendant du quota réservé à la ville, il peut être utile d'avoir des relations du côté de la majorité municipale.

Tout au long de la mandature qui s’achève, j’ai demandé, avec mes quatre collègues de l’opposition de gauche, conscients de potentielles dérives clientélistes dans l’attribution de ces logements, la mise en place d’une commission d’attribution appliquant des critères précis. En vain. Trouvant le système confortable, le maire sortant ne voulait bien évidemment rien y changer. Sa première adjointe de l’époque non seulement soutenait mais, bien plus, justifiait ce système en lieu et place de l’édile, expliquant qu’il y avait transparence puisqu’elle sélectionnait avec le maire trois dossiers soumis au bailleur, lequel faisait ensuite son choix. Oui mais sur quels critères ces trois dossiers avaient-ils été sélectionnés ? Aucune réponse claire. Nous entrions dans la voie d'explications aussi confuses qu’alambiquées. Quant à la dernière tête de liste issue de cette même majorité, que faisait-il ? Réponse : « Cela ne faisait pas partie de ma délégation » ! Et en conseil municipal, quand l’opposition demandait la mise en place de cette commission ? Il n’a pas dû entendre… Voir les mêmes dénoncer aujourd'hui les passe-droits et prôner la mise en place de commission pourrait faire sourire. Pourtant le sujet ne s’y prête pas. Parce qu’il y a peu de logements sociaux, surtout à Saint-Mandé, leur attribution doit se faire de manière rigoureuse. 

Pour notre liste la solution est claire : la transparence et l’équité imposent la mise en place d’une commission d’attribution avec la définition de critères précis, comme c'est le cas dans bien des communes, toutes sensibilités politiques confondues. Et cette solution doit s’étendre également à l’attribution des places en crèche où là encore il y a pénurie, source d’angoisse pour les familles. 

Le 23 mars, tournons la page du clientélisme qui a été celui de la majorité sortante, instaurons la transparence !

Geneviève Touati

jeudi 23 janvier 2014

Nouveaux soutiens à notre liste

Nous remercions le Mouvement républicain et citoyen (MRC) ainsi que le Mouvement unitaire progressiste (MUP), qui viennent de nous apporter leur soutien dans le cadre des élections municipales à Saint-Mandé.

mardi 21 janvier 2014

Pourquoi je soutiens Geneviève Touati

Patricia Guiguet, 53 ans, mère de trois enfants. 
Je vis à Saint-Mandé depuis 13 ans. Après une carrière d’assistante de direction menée dans divers secteurs d’activité (relations publiques, édition, architecture, urbanisme), j’ai développé des compétences particulières dans les domaines de la culture, de l’architecture, de l’urbanisme et de la maîtrise d’œuvre. 
La culture sous toutes ses formes est pour moi un enjeu essentiel non seulement d’expression et d’accomplissement individuel, mais aussi de cohésion sociale. Elle peut être l’expression d’une identité locale et participe au développement économique et touristique des villes. 
Je suis engagée au Parti socialiste depuis 2012, convaincue que le projet de François Hollande était le seul à redonner l’espoir à notre pays, et j’ai naturellement souhaité rejoindre les socialistes de Saint-Mandé. Connaissant bien Geneviève Touati et partageant ses ambitions pour notre ville, c’est avec enthousiasme que j’ai accepté de la soutenir et d’être sa co-listière. Je suis sûre que notre ville peut espérer avec elle refonder la politique communale avec une gouvernance basée sur la concertation avec nos concitoyens, renforcer la solidarité, gérer avec transparence, rigueur et sobriété le budget, insuffler une nouvelle image à notre ville.

Voir également l'article publié par Patricia Guiguet dans le troisième numéro de Saint-Mandé socialiste (4e semestre 2013, p. 3).

jeudi 16 janvier 2014

Deux conseillers municipaux à votre écoute

N'hésitez pas à prendre contact avec eux !

• Geneviève TOUATI (60 ans, avocate au barreau de Paris), conseillère municipale de Saint-Mandé depuis 1998, tête de liste PS en 2001, 2008 et 2014, administratrice du CCAS, membre de la commission d’appel d’offres et des commissions municipales suivantes : finances – culture – solidarité entre générations, santé et logement – éducation, enseignement et temps libre – espace urbain, travaux, développement durable et administration générale - modernisation de l’administration.
Contact : g.touati@wanadoo.fr

• Benoît AINS (37 ans, directeur d’association), conseiller municipal socialiste depuis 2008, membre des commissions municipales suivantes : famille, jeunesse – développement économique, commerce, emploi et marchés – solidarité entre générations, santé et logement – éducation, enseignement et temps libre - sport – vie associative, animation et jumelages – relations avec les institutions, les collectivités locales et les syndicats intercommunaux.
Contact : benoitains@noos.fr

dimanche 12 janvier 2014

Débattons ensemble d'un projet d'avenir pour Saint-Mandé !

Le tractage de ce dimanche au marché Tourelle, à l'occasion duquel nous avons diffusé notre deuxième tract de campagne (ci-dessous), nous a permis d'annoncer aux Saint-Mandéens la tenue de notre réunion publique du samedi 25 janvier (à partir de 18h, centre P. Cochereau, 2 avenue Gambetta). Nous y présenterons la physionomie de notre liste, notre analyse de la mandature écoulée et de la situation politique locale, nos axes de campagne et quelques-uns de nos grands objectifs pour la mandature à venir. La discussion avec le public sera un moment d'échange privilégié.
Nous espérons vous y retrouver nombreux !

jeudi 9 janvier 2014

Finances communales : le fait du prince, jusqu'au bout

Nouvelle illustration du mode de gouvernance en vigueur à Saint-Mandé lors du conseil municipal du 17 décembre dernier : à trois mois des élections, le maire sortant s’est fait autoriser par ce qui lui reste de majorité à disposer, dès à présent, d’une partie des crédits d’investissement de l’exercice 2014, soit la somme de 1 200 000 euros. D’ici au 23 mars prochain, il pourra ainsi programmer des investissements qui engageront la ville au-delà des élections municipales.

Certes, ce procédé est permis par l’article L 1612-1 du Code des collectivités locales. Lorsque le budget de la commune n’a pas été adopté avant le 31 décembre pour l’année suivante, le conseil municipal peut autoriser le maire à disposer, jusqu’à son adoption, d’une partie des crédits d’investissement de l’année à venir, dans la limite du quart de ce qui a été réalisé l’année précédente. Mais ces dispositions ne prévoient qu’une simple faculté. Quant au montant de 25 %, c’est le maximum  autorisé : il est donc permis de prévoir un seuil moindre ! Tel n’a pas été le cas présentement : le maire sortant a opté pour la somme maximum.

Une telle décision adoptée ce 17 décembre, si elle ne contrevient pas à la loi, est-elle pour autant respectueuse de la démocratie ? Assurément non. À trois mois des municipales, un maire sortant dont la réélection n’est aucunement acquise en l’état des divisions de son camp devrait s’abstenir de prendre des décisions qui limiteront les marges de manœuvres de la majorité qui sortira des urnes. Le procédé n’est guère loyal.

De plus, il manque singulièrement de transparence. En effet, en principe la volonté de disposer d’une partie des crédits d’investissements avant le vote du budget ne s’explique que par l’existence de projets. En l'espèce, la délibération soumise au conseil municipal étant des plus vagues sur ce point nous avons demandé des précisions en commission  finances puis lors du conseil municipal. Mais non, nous fut-il répondu : il n’y a aucun projet en vue, c’est uniquement pour se conformer à la loi que cette délibération est présentée. Se conformer à la loi quand celle-ci n’édicte aucune obligation ? La réponse n’en est pas une, comme bien souvent…

Depuis plus de dix ans notre ville est gérée sans concertation, des dépenses sont engagées, des investissements sont décidés et imposés par le maire et ses adjoints, dont ceux qui aujourd’hui vouent aux gémonies des pratiques et une politique qu’hier ils soutenaient. Peut-on dès lors s’étonner que de l’argent public ait été gaspillé dans des projets pharaoniques (étude de 100 000 euros pour la transformation de la salle des fêtes en salle de spectacle), dans des aménagements qui ne satisfont personne (jardin David-Néel, espace sans âme dont les fontaines le jour même de l’inauguration étaient déjà pour partie cassées), et ce pour ne citer que quelques exemples ?

Et si, avant toute chose, les Saint-Mandéens avaient été préalablement consultés sur leur souhait d’avoir ou non une salle de spectacle dans la ville, sur les aménagements du jardin David-Néel ? N’aurait-on pas, ainsi, évité des dépenses inutiles ou mieux utilisé les fonds publics ? Il faut le répéter : une gouvernance authentiquement démocratique peut être l’un des instruments d’une gestion rigoureuse des finances locales.

Nous sommes bien loin du compte à Saint-Mandé. Associer réellement les Saint-Mandéens à l’aménagement de notre commune, c’est ce que je vous propose.

Geneviève Touati

mercredi 1 janvier 2014

Meilleurs vœux pour 2014

À l'occasion de cette nouvelle année, je vous adresse, à vous ainsi qu'à tous ceux qui vous sont chers, mes meilleurs vœux de joie et de bonheur dans un monde plus juste et plus fraternel.
Bien cordialement,
Geneviève Touati